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Il s'agit de vous exposer ce que j'aime faire, et ce que je peux faire pour vous. Capter les personnes, ordinaires et extraordinaires, les blessées, les fortes, les joyeuses et les torturées. Capter les gueules, les grandes et les moins grandes. Partager mes rencontres ou les vôtres, à l'aide de ma boîte à images, et, cerise sur le gâteau, je peux y mettre des mots !  

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Mon histoire

Ma première expérience professionnelle est plutôt atypique. En confondant une annonce pour un supermarché, me voilà formée au métier de croupière. Je l'exerce dans différents casinos pendant une dizaine d'années.

Puis je deviens maman, et j'ai besoin d'un emploi avec des horaires compatibles. J'occupe différents postes au sein des services Finance de plusieurs entreprises (d’aide-comptable à contrôleuse de gestion).

Je change de vie en 2020. Je quitte le monde de l’entreprise pour me consacrer à l’association REGARD PEUPLES ET NATURE, dont je suis co-fondatrice et présidente. Le pari fou est alors de créer le magazine REGARD, numérique dans un premier temps. Du photoreportage autour du développement durable et de l’être humain dans son environnement, pour concrétiser des actions humanitaires au Cambodge, pays où ma révolution a commencé. J’avais déjà le goût de la rédaction, me voilà passionnée par la photographie. J'apprends à fabriquer un magazine, je me forme à l'écriture journalistique et mène une équipe de bénévoles.

Aujourd'hui

Maintenant, je veux continuer à raconter des histoires. Les miennes ou les vôtres, en images ou par écrit, ou les deux ! 
Je vis abritée par la Montagne Sainte-Victoire, à Puyloubier. Animée par les arts et la culture,  j'y suis investie dans trois associations.
Je chante, j'accompagne des étudiants sourds dans leurs cours pour des prises de notes, et je photographie.
Mon fils est grand à présent. Sa perception de la vie n'est pas adaptée à tout le monde, et grâce à lui et à son entourage, mon regard sur les humains est riche. C'est surement pour cela que j'aime les portraits.
Je tente de ne rien m'interdire dans cette vie-là. On dit que choisir, c'est renoncer (enfin, c'est André Gide qui le dit). Je préfère considérer que je décale ce que je ne choisis pas dans l'instant. Sans me perdre, il me plaît de penser qu'il me reste des domaines à explorer, plutôt que d'y renoncer. Choisir au lieu de subir, j'aime bien l'idée, le plus difficile est de trouver le bon moment. 

Contact

Contactez-moi pour exprimer vos besoins et vos envies

dinahanot@gmail.com

0650542350

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